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Les rites funéraires au cœur des commémorations

Dans le cortège funèbre, chacun a sa place définie : le prêtre et les enfants de chœur, les porteurs, les membres de la famille, les hommes et les femmes. Si initialement le déplacement se fait à pied, avec quelques arrêts dans certaines maisons lorsque le chemin est long, dès les années 1830, les corbillards hippomobiles sont utilisés. Cent ans plus tard, ce sont les corbillards automobiles qui font leur apparition. Toutefois, les porteurs reprennent le cercueil à quelques mètres de l’église…

Près du Champs-de-Mars, une voiture funéraire est tirée par des chevaux. Vers 1912.

Fonds Maison funéraire H-N Brien. La Société d’histoire de Sherbrooke.

Corbillard noir, Lasalle 1938, près d’un cimetière. 1938.

Fonds Maison funéraire H-N Brien. La Société d’histoire de Sherbrooke.

En 1951, la Compagnie des frais funéraires des Cantons-de-l’Est, fondée et dirigée par Hector Brien, fait une publicité percutante autour de leur corbillard : une ambulance toute blanche, Cadillac Meteor 1948.

Source : « L’ambulance Brien », Le Messager de St-Michel, 24 mars 1951, [n.p.].

C’est l’hiver et la neige embourbe les chemins? Pas de souci! La Compagnie de frais funéraires des Cantons-de-l’Est possède au moins une autoneige Bombardier pour déjouer la nature. Photo : Coaticook, vers 1940.

Fonds Maison funéraire H-N Brien. La Société d’histoire de Sherbrooke.


Convoi funèbre vers le cimetière Elmwood, sur le boulevard Queen Nord à Sherbrooke. Vers 1915, reproduction de 1963.

Fonds Frederic James Sangster. La Société d’histoire de Sherbrooke.

Six porteurs lors de l’enterrement d’Henriette Petitclerc. Vers 1935.

Fonds Famille Sévigny. La Société d’histoire de Sherbrooke.