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L’arrivée du croque-mort dans le paysage des rites de fin de vie ne se limite pas à la préparation sommaire du corps. Concrètement, il s’agit de la percée de tout un commerce, plutôt lucratif, qui aura d’ailleurs tôt fait d’outrer les représentants religieux. Au-delà du développement de la profession d’embaumeur, ce sont surtout les entreprises connexes qui tanguent vers la dénaturation des rites. Dès lors, les impératifs commerciaux prennent le dessus sur les attentes réelles des personnes endeuillées.

Certificat d’abonnement de classe B d’Ella Gervais, 9 ans, avec la Compagnie des frais funéraires des Cantons-de-l’Est. Le contrat, signé en 1909, d’un terme de 20 ans, coûte à la famille 1 $ par année.

Coopérative funéraire de l’Estrie.

En 1957, une exposition de produits funéraires a lieu au manège militaire des Fusiliers de Sherbrooke, sur la rue Minto (actuelle rue des Fusiliers).

Fonds Maison funéraire H-N Brien. La Société d’histoire de Sherbrooke.

Salle de vente des cercueils, située au 139, rue King Ouest (aujourd’hui le 297) à Sherbrooke. Vers 1935.

Fonds Maison funéraire H-N Brien. La Société d’histoire de Sherbrooke.

Police d’assurance funéraire de la Compagnie des frais funéraires des Cantons-de-l’Est, au coût de 2 $ par année. Le contrat, signé en 1924, a une valeur de 150 $.

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